AD32, cote B615. Novembre 1750
Malgré les excuses du père de Jean-Marie d'Estalenx envers Joseph Destremau, l'existence de voies de fait et blessures, constatées par un chirurgien, contre un premier consul en exercice valurent au coupable une condamnation à une prise de corps qu'il évita en se réfugiant en Bidache, enclave et "principauté" non souveraine de la famille Gramont qui bénéficiait alors d'un régime d'extra-territorialité protecteur.
1750